LIVRES

 



Dans la presse :

- Libre Belgique
- Le Point
- Elle
- Nouvel Obervateur
- Le Figaro
- Pèlerin magazine
- La Croix
- La Provence
- La Vie
- Famille Chrétienne
- Le Vif
- Saberviver (Portugal)
- Sciences Humaines
- Femina suisse


 

 

Dr Aldo Naouri
Les belles-mères
Les beaux-pères, leurs brus et leurs gendres


Editeur Odile Jacob
Date de parution 09/2011
Nombre de pages 320
Format 145 x 220
ISBN
978-2-7381-2679-5

Pourquoi une femme, qui a été bru à son heure et qui a probablement eu à vivre des difficultés dans son rapport à sa belle-mère, ne peut-elle entamer avec sa bru une relation dénuée de conflits ? Pourquoi deux femmes, instruites par l’expérience commune de la maternité et se prévalant de l’amour qu’elles ressentent, ne peuvent-elles pas faire preuve, sinon de solidarité ou de complicité, du moins d’une certaine tolérance ? Pourquoi une mère qui, toute sa vie, a dispensé affection et amour à son fils en protestant de son oblativité ne peut-elle supporter la femme qui aime son fils et que ce fils choisit d’aimer ? Pourquoi une femme qui apprécie, investit et aime un homme supporte-t-elle mal la mère avec laquelle cet homme a fabriqué sa perception de l’amour ? Pourquoi de telles dissensions ont-elles existé depuis toujours et où que ce soit dans le monde ?

Et qu’en est-il, des belles-mères et de leur gendres ? Des beaux-pères et des leurs ? Des mêmes beaux-pères et de leurs brus ? Et puis que dire des brus et des belles-mères qui s’entendent ? Sans compter que ces personnages, avec leurs humeurs, leurs tocades, leurs comportements parfois déroutants, partagent, parfois sinon le plus souvent, la condition commune de grands-parents. Comment sont-ils à leurs places respectives ? Ont-ils un rôle auprès de leurs petits-enfants ? Si oui, qu’a-t-il été, quel est-il et que devrait-il être ?



Pour obtenir ce livre :

Pourquoi j'ai écrit ce livre ?

Concerné dans mon projet thérapeutique par l’environnement de l’enfant que je prends en charge, j’ai toujours veillé à ce que cet environnement soit le plis serein possible, et dans l’idéal dénué de conflits voire même de tension. Or, combien souvent ai-je eu à recevoir des plaintes de jeunes mères à propos de l’attitude de leurs belles-mères ou, à l’inverse, les jugements sévères de grands-mères paternelles à l’endroit de leurs belles-filles. J’ai eu à constater d’une part que les hommes (pères, beau-pères) semblaient ne pas être concernés par ces conflits et que les dits conflits se retrouvaient dans les populations de toutes origines. J’ai voulu éclairer ce mystère et j’ai entrepris une recherche à partir de la linguistique qui m’a poussé infiniment plus loin que je ne l’aurais imaginé